En ce 8 mars, le Parc national des Calanques souhaite mettre à l'honneur ses gardes-monitrices. Au nombre de 6 sur 23 agents de terrain permanents, elles sont encore minoritaires par rapport à leurs homologues masculins. Si leur représentation reste faible, elle est en légère croissance et leur exemple peut créer de nouvelles vocations chez les femmes. Focus sur ces gardes-monitrices qui ont suivi leurs envies professionnelles, en faisant fi des préjugés de genre.
Garde-monitrice, késaco ?
Si on devait les définir en un mot, ce serait la polyvalence. En effet, ces agents permanents des parcs nationaux ont un quadruple rôle d’observation, de surveillance, d'information et de contrôle. Elles interviennent, été comme hiver, sur des missions variées :
- Assurer la police de l'environnement en faisant appliquer la réglementation en vigueur
- Collecter des données et suivre des protocoles scientifiques pour l'étude de la flore et de la faune
- Entretenir les espaces naturels et les équipements (sentiers, etc.)
- Réaliser des actions de sensibilisation et d'éducation à l'environnement
Lorsqu’on les rencontre, on en profite pour échanger avec ces actrices essentielles des Parcs nationaux !
Garde-monitrice, you can do it !
Le métier de garde-moniteur / garde-monitrice est aujourd’hui encore faiblement féminisé, simplement pour des questions de représentations. Vous êtes une femme et ce métier vous intéresse ? Ne laissez pas les stéréotypes de genre biaiser votre orientation professionnelle. Renseignez-vous sur le concours de technicien(ne) de l’environnement.
